Faire du stockage ADN une réalité pratique
Aperçu
Gestion et sécurisation des bases de données ADN. Exemple de stockage d’archives nationales. Applications du stockage ADN
Anthony GENOT, CR CNRS
L’objectif de ce projet est de travailler avec des partenaires institutionnels pour faire du stockage sur ADN une réalité pratique.
Ce projet explorerera le stockage à froid dans l’ADN de données venant de partenaires institutionnels en charge des dépôts légaux pour le multimédia (Institut National de l’Audiovisuel, INA), les codes sources (Software Heritage)
ou les textes de loi (Parlement Européen).
Des cycles complets d’écriture et de récupération d’archives nationales dans l’ADN seront effectués afin d’estimer la durabilité de l’ADN en tant que moyen de stockage sur le long terme.
Mots clés : stockage à froid, archivage, traitement de données, dépôt légal
Les missions
Nos recherches
Construire un démonstrateur
Intégrer les avancées des trois autres projets du programme de recherche, afin de construire une plateforme microfluidique qui permettent d’écrire des données réelles dans l’ADN.
Sécuriser les bases de données ADN
Identifier les menaces et les modes d’attaques des bases de données ADN.
Tracer les bases de données ADN
Marquer chimiquement les bases de données pour s’assurer de leur provenance et garantir leur intégrité
Stocker des archives institutionnelles à froid
Collaborer avec plusieurs institutions pour faire du stockage froid d’archives nationales sur ADN, en conditions réelles et tester le vieillissement accéléré des dispositifs de stockage pour valider le stockage sur une échelle de plusieurs siècles voire millénaires.
Le consortium
CNRS, IMT Atlantique, Inria, Université Claude Bernard de Lyon, Université Côte d’Azur
Construire un démonstrateur de stockage sur ADN
Mettre au point de nouveaux outils pour gérer et sécuriser les bases de données ADN
Apporter aux archives institutionnelles une vision concrète des défis et opportunités liés au stockage de données sur ADN
Une communauté de 10 chercheurs et enseignants chercheurs, 6 post-doctorats et 7 doctorats proposés sur la durée du PEPR ainsi que la création d’un poste d’ingénieur et d’une chaire junior.
Laboratoire de Systèmes Micro-Mécatroniques Intégrés (LIMMS – CNRS, Université de Tokyo)
Laboratoire Gulliver (Gulliver – CNRS, ESPCI, PSL)
Institut de Recherche en Informatique et Systèmes Aléatoires (IRISA – CentraleSupélec, CNRS, ENS Rennes, IMT Atlantique, Inria, INSA Rennes, Inserm, Université Bretagne Sud, Université de Rennes)
Laboratoire d’Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S – CNRS, Université Côte d’Azur)
Laboratoire de traitement de l’information médicale (LATIM – IMT Atlantique, Inserm, UBO)
Laboratoire de l’Informatique et du Parallélisme (LIP – CNRS, ENS, Université Claude Bernard de Lyon)
Institut de Science et d’Ingénierie Supramoléculaires (ISIS – CNRS, Unistra)
Laboratoire des Multimatériaux et des Interfaces (LMI – CNRS, Université Claude Bernard de Lyon)