
Faire du stockage ADN une réalité pratique
Aperçu
Accès rapide aux données stockées sur ADN. Gestion et sécurisation des bases de données ADN. Exemple de stockage d’archives nationales. Applications du stockage ADN.
Dominique LAVENIER, DR CNRS
L’objectif du projet est de travailler avec des partenaires institutionnels pour faire du stockage sur ADN une réalité pratique.
Ce projet explorera le stockage à froid dans l’ADN de données venant de partenaires institutionnels en charge des dépôts légaux pour le multimédia (Institut National de l’Audiovisuel, INA), les codes sources (Software Heritage) ou les textes de loi (Parlement Européen).
Des cycles complets d’écriture et de récupération d’archives nationales dans l’ADN seront effectués afin d’estimer la durabilité de l’ADN en tant que moyen de stockage sur le long terme.
Mots clés : stockage à froid, archivage, traitement de données, dépôt légal
Les missions
Nos recherches
Construire des démonstrateurs
Intégrer les avancées des autres projets du programme de recherche pour construire des prototypes qui permettent d’écrire des données réelles dans l’ADN.
Sécuriser les bases de données ADN
Identifier les menaces et les modes d’attaques des bases de données ADN. Marquer chimiquement les bases de données pour s’assurer de leur provenance et garantir leur intégrité.
Organiser et accéder aux données stockées dans l’ADN
Accélérer l’accès aux données stockées dans les molécules d’ADN via de nouveaux protocoles biotechnologiques.
Stocker des archives institutionnelles à froid
Collaborer avec plusieurs institutions pour valider le stockage à froid d’archives nationales sur ADN en conditions réelles sur une échelle de plusieurs siècles.
Le consortium
CNRS, IMT Atlantique, Inria, Université Claude Bernard de Lyon, Université Côte d’Azur
Construire des démonstrateurs de stockage sur ADN
Mettre au point de nouveaux outils pour gérer et sécuriser les bases de données ADN
Faciliter l’accès aux informations mémorisées dans les molécules
Apporter aux archives institutionnelles une vision concrète des défis et opportunités liés au stockage de données sur ADN
Une communauté de 10 chercheurs et enseignants chercheurs, 6 post-doctorats et 7 doctorats proposés sur la durée du PEPR ainsi que la création d’un poste d’ingénieur et d’une chaire junior.
Laboratoire de Systèmes Micro-Mécatroniques Intégrés (LIMMS – CNRS, Université de Tokyo)
Laboratoire Gulliver (Gulliver – CNRS, ESPCI, PSL)
Institut de Recherche en Informatique et Systèmes Aléatoires (IRISA – CentraleSupélec, CNRS, ENS Rennes, IMT Atlantique, Inria, INSA Rennes, Inserm, Université Bretagne Sud, Université de Rennes)
Laboratoire d’Informatique, Signaux et Systèmes de Sophia Antipolis (I3S – CNRS, Université Côte d’Azur)
Laboratoire de traitement de l’information médicale (LATIM – IMT Atlantique, Inserm, UBO)
Laboratoire de l’Informatique et du Parallélisme (LIP – CNRS, ENS, Université Claude Bernard de Lyon)
Institut de Science et d’Ingénierie Supramoléculaires (ISIS – CNRS, Unistra)
Laboratoire des Multimatériaux et des Interfaces (LMI – CNRS, Université Claude Bernard de Lyon)
Laboratoire des Sciences et Techniques de l’information de la Communication et de la Connaissance (LabSTICC – CNRS, ENIB, UBS, UBO, ENSTA, IMT Atlantique)
